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ANFR/CMR 2019 : Les amateurs à la Conférence Mondiale des Radiocommunications de 2019!

En radio, les amateurs, c’est très sérieux. Comme le précise l’article 1.56 du Règlement des Radiocommunications, le service amateur est le « service de radiocommunication ayant pour objet l’instruction individuelle, l’intercommunication et les études techniques, effectué par des amateurs, c’est-à-dire par des personnes dûment autorisées, s’intéressant à la technique de la radioélectricité à titre uniquement personnel et sans intérêt pécuniaire ». Le service amateur, comme tout autre service de radiocommunications, dispose de bandes de fréquences allouées par le Règlement des radiocommunications et le Tableau National de Répartition des Bandes de Fréquences. En outre, l’ANFR est responsable de la délivrance du certificat de Radioamateur, indispensable pour pratiquer cette activité qui passionne des milliers de personnes en France.
L’ordre du jour des conférences mondiales inclut traditionnellement au moins un point concernant l‘accès au spectre pour les Radioamateurs. Pour la CMR -19, il s’agit du premier point à l’ordre du jour, le 1.1 :

  • il s’agit d’attribuer tout ou partie de la bande 50-54 MHz au service amateur en Région 1, ce qui permettrait à la communauté des Radioamateurs de bénéficier d’une attribution mondiale dans cette bande, déjà attribuée à titre primaire en Région 2 et 3. En France, les Radioamateurs disposent déjà d’une attribution à titre secondaire dans la bande 50-52 MHz. La bande 50-54 MHz fait partie de la « bande I » de la radiodiffusion qui fut utilisée en France pour la télévision et reste utilisée par le CSA pour certains besoins ponctuels en radiophonie. Quelques pays de la Région 1, comme la Russie, utilisent encore cette bande pour de la télévision et s’inquiètent à ce titre d’une attribution au service amateur.

Le recul de la radiodiffusion dans la bande I s’est faite au profit d’autres utilisateurs. On peut citer par exemple quelques radars « profileurs de vent » en Europe et des autorisations de l’Arcep pour des communications mobiles ferroviaires dans les gares. Mais ce sont surtout les forces armées qui utilisent de plus en plus cette gamme de fréquences, qui présente l’intérêt de permettre des communications de mobile à mobile de plusieurs dizaines de kilomètre sans relais. Lorsqu’une infrastructure plus développée n’est pas disponible, la possibilité de communiquer grâce à des terminaux dans ces bandes devient vitale.
C’est l’enjeu principal de ce point à l’ordre du jour. En effet, des utilisations comme la radiodiffusion ou les radars profileurs de vent, connues à l’avance, peuvent être protégées par les radioamateurs. Ce n’est en revanche pas le cas des utilisations mobiles militaires, où les distances de brouillages évaluées par l’ANFR peuvent atteindre quelques centaines de kilomètres.
Il s’agit donc de trouver le juste équilibre entre les besoins vitaux de la défense et la demande d’accès à une partie de la bande 50-54 MHz par les amateurs. La réglementation française, qui répondait déjà en partie à ce besoin, sera le point de départ de notre position à la CMR . Il reste à déterminer s’il est possible d’aller plus loin, par exemple en étendant l’attribution secondaire à l’ensemble de la bande 50-54 MHz. 

Source ANFR ICI

FrHack! 2018: l’ANFR lance son 3ème hackathon

L’ANFR organisera son 3ème hackathon FrHack! le week-end des 26 et 27 mai 2018 à Telecom ParisTech, sur le thème « Gestion et coordination des fréquences lors des catastrophes naturelles ».

Tempêtes, crues, tremblements de terre, glissements de terrain, éruptions volcaniques… Les catastrophes naturelles perturbent les services de télécommunications. Alors qu’ils sont essentiels pour accéder aux secours et les organiser pendant ces moments de grande épreuve, les réseaux sont souvent gravement endommagés ou détruits. Et quand ils sont encore utilisables après une catastrophe, ils peuvent être sur-saturés et ainsi ralentir la capacité des organisations locales à aider les zones touchées.
Avec son hackathon FrHack! 2018, l’ANFR vous propose de mettre en avant l’innovation et l’avant-garde technologique au service des problématiques liées aux catastrophes naturelles.
Vous êtes spécialiste de la propagation des ondes et du traitement du signal, radioamateur, maker, développeur, géo-mathématicien ou bien expert en dataviz ? Venez nous aider à développer en équipe de nouveaux services ou outils innovants qui serviront à améliorer la transmission des informations en situation de désastre naturel.
De nombreux prix sont à gagner pour les projets les plus innovants et originaux !
Pour en savoir plus et vous inscrire, consultez notre site dédié à l’événement ICI

Source ANFR actualités ICI

Le RSPG, groupe européen sur la politique du spectre au sein duquel les Etats membres conseillent la Commission européenne et les décideurs européens, publie un second avis 5G.  Il fait des recommandations pour l’introduction et l’autorisation des systèmes 5G dans les bandes 3,4-3,8 GHz et 26 GHz. En complément il confirme la priorité des études à mener sur d’autres bandes : 42 GHz et 66-71 GHz dans la préparation de la prochaine conférence mondiale (CMR19) et souligne le rôle des bandes basses déjà harmonisées.
Mettre à disposition les bandes 3,5 GHz et 26 GHz d’ici la fin 2020
L’avis souligne la nécessité de mettre à disposition des bandes de fréquences très large contiguës et recommande, en particulier, la défragmentation de la bande 3,4-3,8 GHz compte tenu des réseaux existants 4G ou WiMax, pour des applications mobiles ou du haut-débit fixe, qui faisaient l’objet de mesures d’harmonisation communautaire. Les Etats membres doivent s’y engager sans tarder. Les enjeux stratégiques de réorganisation de la bande 3,5 GHz seront développés dans le cadre d’un troisième avis dont la rédaction va s’amorcer dans les prochaines semaines…….
Pour la bande 26, il incite aussi à ouvrir la possibilité de déploiement dès 2020 pour au moins 1 GHz de spectre, ce qui vise en pratique  la partie 26,5-27,5 GHz où les équipements seront disponibles plus rapidement et les problématiques de mise à disposition de la bande plus simple. Sur le partage avec le service fixe, le RSPG laisse la possibilité aux administrations d’avoir une approche de migration progressive et de mise à disposition de la bande à la 5G par zones.
Au-delà de 2020 : les bandes 42 et 66-71 GHz
Pour les bandes au-dessus de 24 GHz pouvant répondre aux besoins 5G au-delà de 2020, le RSPG recommande des études pour soutenir les bandes 42 GHz et 66-71 GHz dans le cadre de la préparation de la CMR 19. Cette dernière bande, sous autorisation générale, permettrait de disposer d’une bande libre allant de 57 à 71 GHz. La bande 32 GHz a été supprimée des bandes prioritaires compte tenu de l’incompatibilité avec les projets d’utilisation de cette bande pour la radionavigation.
Le potentiel des bandes basses déjà harmonisées est confirmé
Le RSPG confirme le potentiel des bandes déjà harmonisées en soulignant les avancées récentes la normalisation. Les normes 5G NR incluront dès le départ les bandes 700 MHz, 800 MHz, 900MHz, 1800MHz, 2GHz, 2,6 GHz et 1,5 GHz ce qui va permettre aux opérateurs, grâce à l’agrégation de porteuses, d’offrir des services 5G en bénéficiant de la couverture plus favorable dans ces bandes.

Pour en savoir plus, consultez l’avis sur le site du RSPG.

Source ANFR Actualités

L’ANFR publie de nouvelles mesures de DAS (débit d’absorption spécifique) sur 14 téléphones portables prélevés dans des points de vente en France. Ces mesures, inférieures à 2W/kg, sont conformes à la réglementation.
Cette publication s’inscrit dans la continuité des résultats de mesures de DAS publiés en juin puis octobre 2017. Ils contribuent à l’information du public sur l’exposition due aux téléphones portables. 
Ces mesures ont ainsi permis de vérifier la conformité des téléphones aux nouvelles exigences européennes concernant le « DAS tronc », devenues plus restrictives et qui s’appliquent progressivement depuis le 25 avril 2016. En effet, tous les appareils dont le dossier de mise sur le marché est postérieur à cette date sont désormais évalués à une distance maximale de 5 mm, au lieu d’un maximum de 25 mm auparavant.
Pour les nouvelles mesures réalisées : 

  • la valeur moyenne des « DAS tronc » mesurés est de 1,3 W/kg, les niveaux variant de 0,8 à 2 W/kg ;
  • la valeur moyenne des « DAS tête » mesurés est de 0,4 W/kg, les niveaux variant de 0,2 à 0,65 W/kg. 

L’ANFR publie également l’intégralité des rapports techniques de mesures de DAS réalisés depuis 2012, correspondant à 440 appareils prélevés sur le marché français. Pour accompagner la publication de ces rapports et faciliter leur compréhension, vous pouvez retrouver une version commentée, ainsi qu’une vidéo illustrant la méthode utilisée par les laboratoires certifiés pour mesurer le DAS. 
Retrouvez l’ensemble des résultats des mesures DAS en open data et les rapports techniques associés sur notre site ICI .
Pour en savoir plus :

Source ANFR

L’ANFR au MWC à Barcelone 

Le Mobile World Congrès est à l’industrie mobile ce que le Festival de Cannes est au cinéma : un rendez-vous incontournable ! Ce salon annuel, établi depuis près de 10 ans à Barcelone et impulsé par l’association internationale des opérateurs mobiles (la GSM A), est à l’image de l’essor des usages mobiles au sein de notre société et de  l’impact sur les économies nationales de cette industrie. Les premiers organisateurs avaient, en effet, choisi, dès 1996, Cannes comme lieu du congrès annuel de l’association. Le marché mobile prenait son essor, les exposants étaient plus nombreux d’année en année. Ils ne se limitaient d’ailleurs pas au seul palais des festivals et amarraient autour de ce lieu les yachts d’exposition dont la dimension se voulait à l’image de l’empreinte de la société sur le marché mobile. Siemens, par exemple, amarrait dans la baie de Cannes un véritable navire de croisière à son effigie, accessible uniquement par la mer ! L’essor de cette industrie a fini par révéler les limites de ce lieu mythique. Au début des années 2000, les 540 exposants de 148 pays, les 24 000 visiteurs commencent à se trouver à l’étroit : c’est la bulle Internet, la mutation de la téléphonie mobile vers les données, la recomposition de l’industrie mobile et la fin de la domination européenne.
En 2008, le MWC s’installe à Barcelone avec pour fil conducteur la 4G dont la première série de spécifications vient d’être publiée par le 3GPP. Il poursuit d’année en année son essor à l’image de l’empreinte croissante de l’industrie mobile sur notre économie. Aujourd’hui, le MWC, c’est 108 000 visiteurs de 208 pays en 4 jours ! 2 300 exposants, 320 interventions dans les multiples conférences thématiques à l’image de l’évolution de notre société numérique : « sécurité IoT » « blockchain », « Women4tech », « changement climatique », « développement durable » ! Véritable brassage des tendances, des innovations, c’est un passage obligé des CEO du secteur, plus de 5500 en 2017, et des décideurs alors que se prennent les premières décisions politiques nationales qui vont structurer l’essor de la 5G au début de la prochaine décennie……

Accueil d’une délégation du Bénin 

En collaboration avec LS Telcom, l’ANFR a reçu trois experts de l’Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste (ARCEP) du Bénin, dans les locaux du Service régional de Villejuif, les 22 et 23 février 2018.
La délégation s’est vue présenter le rôle et les activités du SR dans le domaine du contrôle du spectre et a pu participer à une journée de formation sur le terrain.
La délégation a été formée aux différentes méthodes de mesure (saturation-filtrage, mesures FH) à la fois aux niveaux théorique et pratique, à travers la manipulation des équipements de mesure (ETL, véhicule laboratoire notamment). 

Source ANFR Actualités

FRANCE — La France compte 12.536 Radioamateurs au 31 janvier 2018

Connaitre le nombre de radioamateurs en France est difficile, car contrairement à d’autres pays, les associations ne communiquent guère sur le sujet et l’administration indiquent des données globales dans leurs rapports annuels. La solution consiste donc à travailler à partir de l’annuaire des Radioamateurs autorisés de l’ANFR ICI. Le dénombrement s’effectue alors par département…travail long et fastidieux, mais avec de la patience, une bonne maîtrise du tableur Excel, et quelques cafés le résultat arrive….. sur le site de F4CZV.

Accueil d’une délégation du ministère des Affaires intérieures et des Communications (MIC) du Japon!

Une délégation de haut niveau du ministère des Affaires intérieures et des Communications (MIC) japonais a été reçue à l’ANFR dans la matinée du 19 février, en collaboration avec l’Ambassade du Japon en France. Les échanges ont tourné autour des principes et procédures d’attribution et de réaménagement des fréquences, notamment dans le cadre des réflexions menées autour du déploiement de la 5G tant en France qu’au Japon. Le rôle du Fonds de réaménagement du spectre (FRS) a particulièrement été détaillé.

Source ANFR Actualités

ANFR : Accueil d’une délégation du ministère des Affaires intérieures et des Communications (MIC) du Japon!

Une délégation de haut niveau du ministère des Affaires intérieures et des Communications (MIC) japonais a été reçue à l’ANFR dans la matinée du 19 février, en collaboration avec l’Ambassade du Japon en France. Les échanges ont tourné autour des principes et procédures d’attribution et de réaménagement des fréquences, notamment dans le cadre des réflexions menées autour du déploiement de la 5G tant en France qu’au Japon. Le rôle du Fonds de réaménagement du spectre (FRS) a particulièrement été détaillé.

 Source ANFR Actualités

Accueil d’une délégation de l’OFCOM de Suisse 

Une délégation de haut niveau de l’Office fédéral de la communication (OFCOM) suisse a été reçue du 13 au 15  février au siège de l’ANFR, à Maisons-Alfort, afin d’échanger sur la surveillance du marché et l’implémentation de la directive RED, en particulier.
Cette visite a permis de comparer les réglementations et procédures de contrôle, de test et de traitement des perturbations dans les deux pays. L’OFCOM a pu également échanger avec les experts de l’ANFR sur les questions d’inspection des sites radioélectriques et d’exposition du public aux champs électromagnétiques.
Enfin, les perspectives de coopération dans le futur ont été abordées afin d’identifier les domaines où une collaboration renforcée entre l’ANFR et l’OFCOM pourrait avoir lieu. 

Source Actualités ANFR

Et si votre accès à internet dépendait de la marque de votre téléphone ? Votre magasins d’applications est-il si transparent ? En 2016, l’Arcep initiait un cycle de rencontres et d’ateliers avec les acteurs concernés : équipementiers, développeurs, éditeurs de contenus… Cette semaine, l’Arcep interpelle chacun sur le rôle des équipements terminaux dans l’ouverture d’internet et les actions à envisager.
A lire : La tribune de Sébastien Soriano, président de l’Arcep, dans l’Obs « Les Gafa règnent sur nos smartphones, reprenons le contrôle »
En choisissant notre téléphone, nous choisissons en réalité notre montre, nos enceintes, un service de musique et, au bout du compte, la playlist qui accompagnera notre dîner entre amis. Demain, c’est à l’assistant vocal de notre voiture que nous demanderons « mets-moi les informations ». Et de fait, l’enjeu deviendra démocratique s’il ne l’était pas déjà. »
Lire l’intégralité de la tribune
Et on se donne rendez-vous demain !
L’Arcep publiera demain matin son rapport « Terminaux, maillon faible de l’ouverture d’internet ». L’Arcep y propose plusieurs recommandations pour éviter que les terminaux n’offrent qu’un accès limité à internet. Ce rapport sera remis demain matin à Mounir Mahjoubi, secrétaire d’Etat au Numérique.
A l’occasion de cette publication, l’Arcep a invité les experts du secteur à débattre sur le sujet lors d’un après-midi de débats (>>programme<< >>inscription<<). Ils se dérouleront à partir de 15h demain (15/02) au Pan Piper (2-4 impasse Lamier) à Paris.
Les débats seront diffusés en direct ICI :

Arcep / COM

Assistance TNT : L’ANFR ouvre un téléservice pour aider les téléspectateurs

à retrouver une bonne réception de la TNT

L’ANFR modernise son dispositif d’accompagnement des particuliers pour la réception de la TNT , avec la mise en ligne d’un téléservice disponible 24H sur 24 : assistance.recevoirlatnt.fr.
L’ANFR est chargée par la loi, conjointement avec le CSA , de la protection de la réception de la télévision numérique terrestre ( TNT ) reçue via l’antenne râteau. Depuis 2012, elle met à disposition des téléspectateurs un centre d’appel, le 0970 818 818, pour les aider à résoudre leurs problèmes de réception dès lors qu’ils ne sont pas liés à leurs équipements individuels.
L’ANFR complète aujourd’hui ce dispositif par l’ouverture d’une nouvelle plateforme en ligne qui permet d’assister gratuitement et 24h sur 24 les personnes rencontrant des dysfonctionnements. Si la solution n’est pas disponible immédiatement, les précisions fournies par le téléspectateur permettent à l’ANFR d’enquêter pour identifier l’origine des perturbations. Plusieurs causes sont en effet possibles : mise en service récente d’un relais 4G dans le voisinage, dysfonctionnement ou panne d’un relais TNT , changements de fréquences de la TNT ou apparition d’un élément perturbateur à proximité, par exemple une éolienne. Si aucun élément déjà connu ne permet d’expliquer le dysfonctionnement, l’ANFR peut engager des enquêtes de terrain grâce à l’action de ses services régionaux présents sur tout le territoire, y compris Outre-Mer.
Ce nouveau téléservice, après la dématérialisation des demandes de licences maritimes fin 2016, puis du dispositif national de mesures de l’exposition aux ondes en décembre dernier, constitue une étape supplémentaire pour simplifier les démarches administratives des Français.

Pour en savoir plus :

Source ANFR

TNT HD:Changement de date des réaménagements de fréquences

Après concertation des acteurs publics et privés impliqués dans ce projet, le CSA a décidé de modifier à la marge le calendrier du déroulement de travaux des phases 8, 9, et 10.

  • Phase 8 :6 novembre 2018(report de 3 semaines par rapport à la date initiale du 16/10/2018)
  • Phase 9 :4 décembre 2018(report de 2 semaines par rapport à la date initiale du 20/11/2018)
  • Phase 10 :29 janvier 2019(report de 2 semaines par rapport à la date initiale du 15/01/2019)

Cette décision ne remet en cause ni le principe du transfert de la bande 700 MHz vers les services du très haut débit mobile ni l’échéance de ce transfert toujours fixé au 30 juin 2019. Il n’a par ailleurs aucune conséquence sur le calendrier de mise à disposition de la bande pour les opérateurs de téléphonie mobile dans les zones considérées.
Pour en savoir plus, consultez la nouvelle carte des réaménagements.

Source ANFR

Contrôle maritime : l’ANFR participe à la mise en service de navires à passagers à Saint-Pierre-et-Miquelon 

L’ANFR a participé à la mise en service de deux nouveaux navires à passagers, le NORDET et le SUROIT, appartenant à la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon.
L’ANFR a vérifié les équipements radioélectriques de ces navires au chantier naval d’Antalya (Turquie) qui les a livrés. Ils ont commencé leurs rotations en ce début d’année entre Saint-Pierre-et-Miquelon et Fortune, dans la province canadienne de Terre Neuve. Ils contribuent désormais au désenclavement de l’archipel et au développement du tourisme. En effet, ces deux ferries identiques, d’une capacité de 185 passagers et 18 voitures (longueur hors tout 55 mètres et largeur 11 mètres), remplacent l’unique navire de capacité plus réduite qui a assuré ce service jusqu’à fin 2017.
Les équipements contrôlés sont essentiels à la sécurité et la sûreté des passagers…..

Intervention Controle ANFR sur Brouillage

Un étrange véhicule aux couleurs proches de celles de la gendarmerie a stationné mercredi à Domérat…
Il s’agissait du véhicule mesure de l’Agence nationale des fréquences (ANFR). Des techniciens sont intervenus toute la journée de mercredi et jeudi matin pour mettre fin à des problèmes de brouillage du réseau de téléphonie Orange dans le secteur, dont plusieurs habitants du coin s’étaient plaints.
Des boîtes qui n’étaient pas aux normes?
Le problème était en fait dû à deux répéteurs installés chez des particuliers. Ces boîtes permettent de récupérer le signal d’un réseau et de l’amplifier mais comme celles mises en cause n’étaient pas aux normes, elles occasionnaient des rayonnements et, par répercussion, parasitaient le réseau localement.
Jeudi matin, les techniciens ont pu intervenir au domicile des deux particuliers concernés et donc finalement mettre un terme à ce brouillage. « L’utilisation d’un répéteur est soumise à une autorisation de l’opérateur mobile normalement, mais les personnes ne le savent pas toujours », indique le service presse de l’ANFR.
Les techniciens de l’Agence nationale des fréquences effectuent quasiment tous les jours des mesures de terrain, entre autres à l’aide de ce véhicule labo équipé d’un grand mât.
Source de L’article « LaMontagne » de Gaëlle Chazal