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Non-correspondance Antenne/Radio:  ROS (VSWR) expliqué

Si vous avez déjà utilisé un équipement émetteur, vous avez probablement entendu parler de l’adaptation d’une antenne à l’émetteur et de l’utilisation du câble coaxial droit.
Tout correspondre – par exemple, à 50 ou 75 ohms – permet à la plus grande puissance d’atteindre l’antenne et d’en sortir sur les ondes. Même pour recevoir ceci est important, mais vous n’en entendez généralement pas autant parler aux destinataires.Mais voici une question: si un émetteur de 100 watts alimente une antenne dépareillée et ne délivre que 50 watts, où sont passés les 50 autres watts? [ElectronicsNotes] a une entrée sur le  blog en plusieurs parties qui explique ce qui se passe sur une ligne de transmission incompatible, y compris une analyse approfondie du taux d’ondes stationnaires ou du VSWR.
Nous avons aimé les graphiques très propres montrant comment différentes différences de charge affectent la ligne de transmission. Nous avons également apprécié la manière dont il a abordé la perte de retour et le coefficient de réflexion.À un moment donné, le fait de transmettre avec un émetteur radioamateur dans une mauvaise charge pouvait endommager la radio. Même si la radio peut y survivre, l’effet n’est pas aussi grave que vous pourriez le penser. Le post souligne que la perte de lignes d’alimentation est souvent plus importante. Cependant, le problème avec les radios modernes est que, lorsqu’elles détectent des ROS élevés, elles réduisent souvent considérablement leur puissance afin de prévenir les dommages. Cela est souvent à l’origine de mauvaises performances, plus que la perte d’électricité réelle due au mécanisme de VSWR. Par contre, il est préférable de brûler les transistors finaux comme le faisaient les anciennes radios.

Mesurer le VSWR sans émetteur est un peu plus compliqué. Un analyseur de réseau peut le faire. Bien que ce soit une pièce d’équipement assez exotique, il est devenu beaucoup plus courant ces derniers temps.

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