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C’est l’une des missions spatiales les plus risquées que va tenter lundi matin la Nasa, à 7h30 heure française. Jamais un robot aussi gros (900 kg) et aussi complexe que Curiosity ne s’est posé sur la planète rouge. Partie il y a huit mois de la Terre, la mission vise le cratère de Gale dans l’hémisphère Sud. Alimenté au nucléaire, le robot à 6 roues que doit délicatement déposer la capsule spatiale explorera la région pendant deux ans.
La Nasa devra auparavant réussir l’atterrissage automatique du robot, une opération qui a échoué historiquement dans 60% des tentatives à cause de la faible densité de l’atmosphère martienne. La manoeuvre est cette fois d’autant plus risquée que les ingénieurs ont dû concevoir les techniques d’atterrissage les plus audacieuses jamais employées sur Mars à cause du poids inédit du véhicule. La capsule sera d’abord freinée par son bouclier dans le ciel martien avant de déployer un parachute pour franchir le mur du son. La descente finale sera alors ralentie par des moteurs fusées, puis des treuils poseront délicatement le robot sur le sol rouge.
Une mission à 2,5 milliards de dollars
La météo martienne sera également de la partie : une tempête de poussières risque de balayer le cratère. Aux dernières nouvelles, l’atterrissage devrait toutefois la précéder. Les nerfs de la Nasa seront donc mis à dure épreuve et le succès ou l’échec ne sera connu qu’au minimum 14 minutes plus tard, le temps que le robot ou les satellites d’observation autour de Mars relaient l’information…….Voir l’article complet de de Mathieu Quiret sur les Echos.fr
Demain matin a 7H31 local Curiosity se posera sur Mars.
Lien pour suivre en directe l’évènement. des 6h30 ICI
Tomorrow morning 5H31 GMT Curiosity will land on Mars.
Address above to follow in live.
No Paraset on Mars at that time
73 Jean-Claude F6eju
Comme chaque année à la même période les Perséides sont de retour. Pour la plupart d’entre nous, elles sont synonymes de vacances et de belles nuits d’été passées à la belle étoile (filante, bien sûr).
Depuis 1866, grâce à l’astronome italien Giovanni Virginio Schiaparelli, nous savons que l’essaim des Perséides est du au passage de la comète 109P/Swift-Tuttle à proximité du Soleil. Comme beaucoup d’essaims, le taux horaire diminuait au fur et à mesure que les années passaient, pour reprendre une nette amélioration après le passage de la comète. Au début du siècle dernier, le taux horaire était d’une moyenne de 50. Lorsque la comète repassa au voisinage de la Terre en 1992, le taux horaire fut de plus de 250.
Cette comète, découverte en 1862, a une périodicité de 130 ans. On pense d’ailleurs qu’elle a été observée à plusieurs reprises beaucoup plus tôt (peut-être même en l’an 68 et en l’an 188 par les astronomes chinois). Les passages de la comète ont engendré un nuage de débris cométaires que la Terre traverse chaque année entre le 17 juillet et le 24 août. La plupart de ces débris ont la taille d’un grain de poussière, mais cela est suffisant pour fendre le ciel d’une magnifique traînée. Cette trainée est due à la vitesse élevée des débris (59 km.s-1 en moyenne dans le cas des Perséides, ce qui fait 212 400 km.h-1!) En pénétrant dans l’atmosphère, leur température s’élève à 2000°C et ils se consumment, produisant les traînées lumineuses. Les Perséides s’illuminent vers 115 km d’altitude pour s’éteindre vers 90 km en moyenne. Chaque année, ce sont au total 100 000 tonnes de poussières qui brûlent ainsi dans l’atmosphère.
Voir la suite de l’article ICI
Un système d’alerte aux tempêtes solaires vient d’être mis au point, capable de prévoir plus de 2 heures à l’avance l’arrivée de particules dangereuses. De quoi donner le temps de se protéger aux occupants de l’ISS et aux équipages d’avions en région polaire.
Malgré notre compréhension des principaux mécanismes de fonctionnement du Soleil et la possibilité de suivre en 3D la trajectoire des tempêtes solaires vers la Terre, il reste difficile de prédire l’activité solaire à court terme. Or, nos sociétés modernes sont bien plus exposées au risque des soubresauts du Soleil qu’on ne le pense.
De l’astronaute en activité dans l’espace, aux pilotes d’avions et leurs passagers, en passant par des satellites aux réseaux terrestres de distribution d’énergie, bon nombre de personnes et d’activités économiques sont à la merci d’une éruption solaire trop importante.
Voir la suite de l’article de Rémy Decourt, Futura-Sciences ICI

Actuellement, le Soleil est dans une période de pic d’activité, qui se produit généralement tous les 11 ans. Pour ces prochaines années, les astronomes s’attendent à des sursauts d’activités potentiellement dangereux pour les astronautes. © Esa
Hess II, le plus grand télescope Cherenkov au monde, a vu sa première lumière le 26 juillet en Namibie.
Sa puissance s’ajoute aux 4 instruments du même type déjà en service sur ce site.
Voici presque 10 ans, en septembre 2002, avait lieu l’inauguration du premier des télescopes à rayons gamma du projet Hess (High Energy Stereoscopic System) sur le site de Gamsberg en Namibie. Cette coopération entre l’Europe et l’Afrique visait à créer un réseau de récepteurs destinés à détecter les rayons gamma de très haute énergie d’origine cosmique associés aux supernovae et aux trous noirs grâce au flash lumineux que ces rayons produisent en interagissant avec l’atmosphère terrestre, par effet Cherenkov.
High Energy Stereoscopic System, dont les initiales rendent hommage au physicien Victor Franz Hess qui découvrit les rayons cosmiques en 1910 (ce qui lui valut le prix Nobel en 1936), comprend 4 télescopes de 12 m de diamètre, opérationnels depuis 2004, auxquels vient s’ajouter Hess II. Avec son miroir de 28 m, il est désormais le plus grand télescope Cherenkov au monde devant le Magic (17 m) installé sur l’île de La Palma aux Canaries.
Lire la suite de l’article de Jean-Baptiste Feldmann, Futura-Sciences ICI
Un flux de vent solaire s’écoule de ce trou coronal et devrait atteindre la Terre vers les 28 et 30 Juillet.
Le vent solaire vitesse: 338.7 km / sec
Attention pour ces 3 jours !
Source de l’info ICI

Cette photo a été prise avec un télescope Newton de 150 mm avec un temps de pose de 1/400 s à 200 iso. Crédit : Jean-Francois Larouche.
C’est avec une photo de la station spatiale internationale ISS en ombre chinoise devant la Lune que Jean-François Larouche est arrivé à prendre et il est en tête de notre challenge photo dédié à l’ISS. Cette victoire est bien méritée car l’image regorge de détails.
Voir la suite de l’article sur sur Cieletespace ICI
Lundi, l’Américaine Sally Ride est décédée à l’âge de 61 ans des suites d’un cancer du pancréas. Cette femme était devenue en 1983 la toute première astronaute américaine à s’envoler pour l’espace, vingt ans après la première cosmonaute russe.
Voir la suite de l’article sur Maxisciences ICI
La « ligne grise » est une bande autour de la Terre qui sépare la lumière du jour de l’obscurité. La Propagation le long de la ligne grise est très efficace.
Une des principales raisons à cela c’est que la couche D, qui absorbe les signaux HF, disparaît rapidement sur le côté le coucher du soleil de la ligne grise, et il n’a pas encore été reconstruite sur le côté le lever du soleil.
Les Radioamateurs, les Ecouteurs-SWL et les Auditeurs en d’Ondes Courtes cela leurs permet d’optimiser les communications longue distance à différents domaines du monde par le suivi de cette bande comme il se déplace partout dans le monde.
Cette carte sera automatiquement actualisée toutes les 5 minutes.
Voir le lien de la ligne grise ou Greyline ICI
Le 6 août, le robot américain Curiosity descendra sur Mars. Cet atterrissage sera le plus complexe jamais tentée par la NASA, particulièrement les sept dernières minutes pendant lesquelles le vaisseau ne pourra plus communiquer avec la Terre.
Le 26 novembre 2011 était lancé le robot américain Curiosity. Il s’agit de l’engin d’exploration scientifique le plus gros (900 kg) et le plus sophistiqué jamais envoyé sur une autre planète, en l’occurrence la planète Mars. Avec ses six roues, ce robot de la taille d’un petit 4X4 est deux fois plus long et cinq fois plus lourd que les deux précédents robots martiens Spirit et Opportunity.
Doté de dix instruments scientifiques et alimenté par un générateur nucléaire, il possède un mât avec des caméras à haute définition et un laser. Au vu d’un tel équipement, son coût ainsi que celui de sa mission hors normes ont été évalués à pas moins de 2,5 milliards de dollars….Voir la suite de l’article sur Maxisciences ICI
Hannes Coetzee, ZS6BZP, rapporte que l’activité solaire prévue pour la semaine sera à des niveaux faibles.
Aucune des tâches solaires face à la Terre-nous menace pour voir des fortes éruptions solaires.
Si vous voulez faire vos propres, prédictions fréquence le nombre prévu de tâches solaires efficaces pour la semaine se situera autour de 65.
La propagation sera un peu plus favorable de 20 à 10 m vous fournira beaucoup de plaisir DX surtout sur le 15 m qui aura les meilleurs ouvertures avec le 20 m de pas loin derrière. sur 10m les ouvertures seront moins fréquentes en raison de la baisse de l’activité solaire.
S’il vous plaît visitez http://www.spaceweather.co.za pour plus d’informations.
Source Southgate News.
D’étonnantes images de la plus grosse tempête jamais observée sur Saturne
La sonde Cassini de la NASA a pris des images de la plus grosse tempête jamais observée sur Saturne. Au milieu des nuages tourbillonnants, des éclairs ont pu être aperçus.
L’an dernier, le 6 mars 2011, la sonde américaine Cassini capturait des images de la plus grosse tempête jamais observée sur Saturne. Des lumières, bleutées par le filtre de l’objectif de la sonde, avaient été repérées au milieu des nuages tourbillonnants. Il s’avère que ces lumières n’étaient rien de moins que des éclairs. Or, c’est la première fois que les scientifiques ont pu apercevoir un éclair dans des longueurs d’ondes visibles sur la région de Saturne qui est illuminée par le Soleil.
Voir la suite de l’article sur Maxisciences ICI
C’est le 6 mars 2011 que la sonde Cassini a capturé des images de la plus grosse tempête jamais observée sur Saturne visible ici en hausses couleurs en haut à gauche (Crédits : NASA/JPL-Caltech/Space Science Institute)
Voir les Images sur Maxisciences ICI
Alors que se tiendra à la mi-août une nouvelle édition de la Nuit des étoiles, Maxisciences a décidé de faire encore une fois appel à vos talents de photographe pour révéler la beauté de notre ciel et des milliers d’étoiles qui l’illuminent la nuit venue.
« Les vers de terre s’enfoncent dans le sol pour ne pas tomber amoureux des étoiles« . C’est ce qu’a écrit dans l’une de ses oeuvres le romancier français Yvan Audouard. Mais qui parvient aujourd’hui à résister à la beauté d’un ciel illuminé par des milliers de points scintillants ? Dès la nuit tombée, il n’est pas rare de voir quelqu’un lever le nez au ciel et contempler ces gigantesques objets célestes situés à des centaines de milliards de kilomètres de la Terre. Une observation d’autant plus prisée lorsque la météo est clémente et libère le ciel de ses nuages…..
Voir la suite de l’article sur Maxisciences ICI
Grâce aux nombreux satellites en rotation autour de la Terre, les scientifiques ont la possibilité de voir de manière différente et surtout plus précise les «respirations» de la planète. Ainsi, il est maintenant possible d’observer les courants marins et la manière dont ils véhiculent nutriments et plancton. De même pour les vents de sable, les nuages d’origine volcanique, voire les radiations électromagnétiques : ces phénomènes sont désormais visibles depuis l’espace. Les images satellites permettent notamment de suivre les évolutions de la forêt amazonienne. Les scientifiques commencent à comprendre le fonctionnement de cet écosystème…..
Lien vers la Vidéo sur France 5 TV PLUZZ