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Une nouvelle cellule de mémoire combinant les propriétés de la molybdénite et celles du graphène permettra-t-elle d’échapper aux limites physiques du silicium ? C’est ce qu’espère Andras Kis, directeur du laboratoire d’électronique et structures à l’échelle nanométrique : « La réussite du mariage de ces deux matériaux nous permet de projeter d’importantes avancées en matière de miniaturisation, et également l’utilisation de ces transistors pour la fabrication d’appareils nanoélectroniques flexibles. » C’est dans la minceur de la molybdénite et donc dans sa sensibilité accrue aux charges que réside le potentiel d’efficacité de stockage de cette technique.

L’équipe de chercheurs de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (Suisse) dispose d’un prototype fonctionnel pour stocker des données, conçu selon la géométrie « à effet de champ »….;;La suite de l’article de AM sur ELEKTOR ICI